25 DÉCEMBRE 2013
C'EST NOEL !
Un enfant
nous est né, un fils nous a été donné;
l'empire a
été posé sur ses épaules,
et on lui
donne pour nom:
Conseiller admirable,
Dieu fort, Père éternel,
Prince de la paix:
Pour étendre l'empire
et pour
donner une paix sans fin
au trône de David et à sa royauté,
au trône de David et à sa royauté,
pour
l'établir et l'affermir
dans le droit et dans la justice,
dans le droit et dans la justice,
dès
maintenant et à toujours.
(Isaïe 9)
Gloire à
Dieu au plus haut des cieux
Et paix sur
la terre aux hommes qu’Il aime !
Tout est dérisoire et, parce que dérisoire
C’est inconcevable, inimaginable,
Nous sommes dépassés
Et cependant, nous LE savons là,
Non seulement à côté de nous
Mais
en nous !
Reconnu ou non !
Emmanuel,
Dieu parmi nous !
Mais que ce Mystère de l’amour offert
est grand, insondable,
inconcevable !
Mon Dieu que nous sommes petits !
Et puissions-nous l’être, le devenir
vraiment
Pour que tu te trouves bien en chacun
de nous !
Merci de réaliser en chacun
Ce dont nous sommes incapables par
nous-mêmes.
Viens, Toi le si petit,
- qu’il
n’y a pas plus petit au monde,-
Viens nous renouveler,
Que nous n’ayons jamais plus de
velléités de grandeur.
Apprends-nous à « être »
simplement
Rien de plus !
Ainsi tu seras à ton aise dans la crèche
de notre cœur.
Viens Emmanuel !
Viens Seigneur Jésus !
Viens en nous !
Viens !
Mais tu es
là !
C’est nous qui sommes absents !
Pardon !
Rends-nous présents à ta présence !
Éveille-nous !
Que nous ne te laissions jamais seul !
Que nous respirions de ta respiration !
Que nous notre cœur batte au rythme du
tien !
Que nous exhalions ton souffle
bienfaisant !
Que nous murmurions tes mots d’amour !
Que nous aimions de ton amour !
Adoramus te Domine !
JOYEUX ET SAINT NOEL A CHACUN !
Et je vous
partage un écrit de Thomas de CELANO biographe de Saint François d’Assise à
propos de la fête de Noël. Pour lui, François, la création tout entière doit
participer à cette fête des fêtes parce toute la création est sauvée en Jésus
Sauveur !
« Plus
que tout autre solennité, François célébrait
Noël avec une joie ineffable, disant que
c’était la fête des fêtes car, en ce jour, Dieu s’était fait petit enfant et
avait sucé le lait comme tous les autres enfants des hommes….le nom de Jésus
était à ses lèvres, doux comme le miel.
Un jour de Noël qui tombait
un vendredi on discutait pour savoir si l’on mangerait de la viande il répondit
au Frère Morico : … Frère je voudrais qu’en cette fête les murs eux-mêmes
puissent manger de la viande, ou, du moins qu’on les frotte de graisse,
puisqu’ils ne peuvent manger. »
Et ailleurs :


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