XXXIV
e DIMANCHE
DU
TEMPS ORDINAIRE
Année
C
(Lc 23, 35-43)
C’est avec la fête du Christ-Roi de l’Univers, instituée en 1925 par le Pape Pie XI, que s’achève l’année liturgique.
Introduction
Pour
la Constitution
sur la Liturgie, toute célébration liturgique actualise l’œuvre
du salut en plaçant au centre de la vie chrétienne, le mémorial de
la croix,
centre de la foi chrétienne :
«
Parce que la mort du Christ en croix et résurrection constituent
le contenu de la vie quotidienne de l’Église et le gage de sa
Pâque éternelle, la
liturgie a pour première tâche de nous ramener inlassablement sur
le chemin pascal ouvert par le Christ, où l’on consent à mourir
pour entrer dans la vie ».
En
entretenant cette mémoire pascale, la liturgie cultive une
distance à l’égard de tout pouvoir. A la requête de la mère
des fils de Zébédée, « Ordonne que mes deux fils que voici
siègent, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ton
Royaume » (Mt 20,21), Jésus répond : « Pouvez-vous boire la coupe
que je vais boire? » (Mt 20, 22), ce qui évoque la Passion. Et
il le fait en précisant qu’il n’a pas le pouvoir d’accorder ce
qui est demandé : « vous boirez ma coupe; quant à siéger à ma
droite et à ma gauche, il ne m’appartient pas d’accorder cela,
mais c’est pour ceux à qui mon Père l’a destiné » (Mt 20,23).
La suite du texte, qui souligne la jalousie entre les disciples,
traduit cette transformation fondamentale, opérée par la foi au
Christ, du rapport chrétien au pouvoir :
«
Vous savez que les chefs des nations dominent sur elles en maîtres
et que les grands leur font sentir leur pouvoir. Il n’en doit pas
être ainsi parmi vous: au contraire, celui qui voudra devenir grand
parmi vous, sera votre serviteur, et celui qui voudra être le
premier d’entre vous, sera votre esclave » (Mt
20, 25b-27).
Toutefois
ceci ne doit pas être compris seulement comme une exhortation à la
modestie :
il en va de la condition même du disciple du Christ, de sa
configuration au maître qui s’est fait serviteur :
«
C’est ainsi que le Fils de l’homme n’est pas venu pour être
servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour une
multitude » (Mt 20,28). C’est
pourquoi la Fête du
Christ Roi de l’univers, célébrée le dernier dimanche de l’année
liturgique, exprime de manière spécifique la relation que la
liturgie instaure entre royauté du Christ et mystère de la croix.
De la Fête du « Christ-Roi» à la fête du « Christ, Roi de l’univers »
Instituée
par
l’Encyclique Quas Primas du
Pape Pie XI (1925),
et placée au dernier dimanche d’octobre,
la fête du Christ-Roi apparaissait
comme une fête autonome
célébrant le « règne social de Jésus-Christ ». Son instauration
avait fait l’objet de quelques critiques car on s’écartait de la
grande tradition liturgique, qui normalement célèbre des événements
du salut manifestant l’unique mystère du Christ (Nativité,
Pâques, Ascension etc.). Dans la période post-conciliaire,
cette fête a
suscité une certaine gêne tant il est vrai que sa dimension
socio-politique était liée à une vision des rapports entre
l’Église et la société qui semblait éloignée de l’enseignement
du Concile Vatican II. Pouvait-on encore dire par exemple : « aux
catholiques il appartiendra de faire rentrer triomphalement
le Christ -Roi ans
les conseils de leurs gouvernements et dans les relations sociales de
leurs semblables » ? . En 1966, dans la première série Assemblées
du Seigneur (avant donc la réforme de Vatican II), l’introduction
du fascicule consacré à cette fête,
traduit bien cette gêne :
«
Instituée à l’époque moderne, commentée par une encyclique aux
implications sociales et politiques qui correspondent à un contexte
sociologique pour une bonne part dépassé,
la fête du Christ-Roi pourrait
sembler à beaucoup avoir perdu son actualité sinon sa signification
».
En
effet, certains aspects en faisaient largement la célébration d’une
« idée ». Ainsi, s’adressant au Christ (désigné comme «
Prince de tous les siècles », « Roi des nations », « vrai Prince
de la Paix » et encore « arbitre des pouvoirs du monde ») l’hymne
des vêpres demandait
: « Puissent les gouvernants des peuples vous offrir un culte
public, maîtres, juges, vous honorer ; arts et lois chanter votre
gloire ! » . Le thème de la royauté du Christ abritait, en faveur
de l’Église et de la religion,
la revendication d’une place dans une société en voie de
sécularisation accélérée.
Et,
en rappelant la dimension sociale de la religion,
l’instauration de cette fête cherchait
à s’opposer au mouvement de privatisation du religieux qui
caractérise le monde contemporain.
Dès
lors, et en plaçant la fête du
Christ Roi au dernier dimanche de l’année liturgique, comme une
sorte d’inclusion avec le premier dimanche de l’Avent,
la réforme de Vatican II a transformé profondément le sens de
cette célébration et lui a conféré une dimension eschatologique
fondamentale qu’atteste d’ailleurs le titre nouveau qui lui est
donné dans le Missel romain de 1970 : « Fête du
Christ Roi de l’Univers ».
Si on les compare à ceux de 1926, les formulaires liturgiques
actuels sont très révélateurs de la réinterprétation de
cette fête dans
le cadre de l’enseignement du Concile Vatican II.
Les changements dans la liturgie de la Parole
Dans
le missel de 1962, les deux lectures de la messe de
cette fête sont
l’hymne de l’Épître aux Colossiens (Col 1, 12-20) (comme
épître) alors que l’Evangile était
celui de la rencontre entre Pilate et Jésus au cours de Passion (Jn
18, 33-37). Le commentaire dans le « missel à l’usage
des fidèles »
de Dom Lefebvre insistait déjà sur le caractère spirituel de la
royauté du Christ, ce qui opérait une prise de distance à l’égard
d’une vision où la fête était
conçue avant tout comme protestation contre le laïcisme .
Au-delà de cet horizon social et politique, et dans le cadre d’une
théologie de la Rédemption, le formulaire liturgique mettait
surtout en lumière, la primauté du Christ sur la création et sur
les nations : «
Dieu (…) accordez dans votre bonté, à la grande famille des
nations, déchirée par la blessure du péché, de se soumettre à
son joug plein de bénignité ».
Dans
le lectionnaire de 1969, il y a trois formulaires, un pour chaque
année liturgique, et comportant chacun trois lectures et un psaume :
les textes scripturaires sont nettement plus nombreux et confèrent à
la fête des
harmoniques diversifiées.
L’année
A
insiste sur la figure
du roi berger dont David est la figure annonçant
le Christ.Comme roi et berger de son peuple, c’est le Christ qui
lors de son retour en gloire à la fin des temps – «
Jésus parlait à ses disciples de sa venue… » (Mt 25, 31)
– présidera au grand jugement de l’amour dont l'Evangile de
Matthieu dessine la scène grandiose : «
il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare
les brebis des chèvres : il placera les brebis à sa droite, et les
chèvres à sa gauche » (Mt 25, 32-33)
L’année
B insiste sur la différence entre les royautés de ce monde
et celle que Jésus revendique devant Pilate : « Ma royauté ne
vient pas de ce monde (…) non ma royauté ne vient pas d’ici »(Jn
18, 36). Mais surtout la relation entre l’Ancien et le Nouveau
Testament qui structure la liturgie de la Parole dans le lectionnaire
de 1969, désigne cette royauté comme accomplissement
eschatologique de la prophétie du livre de Daniel : « Moi Daniel
(…) je voyais venir, avec les nuées du ciel, comme un Fils d’homme
(…) Et il lui fut donné domination, gloire et royauté (…). Sa
domination est une domination éternelle, qui ne passera pas, et sa
royauté, une royauté qui ne sera pas détruite » (Dn 7, 13-14).
L’année
C tourne le regard vers le Christ en croix avec
la scène des deux larrons, propre à
l’Evangile de
Luc. C’est sur la Croix qu’apparaît
le caractère royal du crucifié qui conteste tout pouvoir.
C’est même à un délinquant que cette royauté est annoncée
avec solennité :
mais si le bon larron demande au crucifié de se souvenir de lui «
quand tu viendras inaugurer ton Règne » (Lc 23,42),
la réponse fait passer du règne (basileia)
au paradis (paradeisos)
:
«
aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis »
(Lc
23, 43)
N'est-il
pas surprenant d'entendre cet Évangile en ce jour où , en Église,
nous célébrons la
fête du Christ Roi de l'Univers ?
Jésus crucifié, Jésus moqué, Jésus bafoué, Ses Paroles
galvaudées, mais où est donc Sa Royauté ? Comment reconnaître
le ROI DE L'UNIVERS dans cet homme suspendu au gibet entre deux
malfaiteurs ? C'est là tout le paradoxe de notre foi
chrétienne, de notre engagement de baptisé, c'est
quand je suis faible
écrira Saint Paul, que
je suis fort !
C'est
pourquoi j'accepte de grand cœur pour le Christ les faiblesses, les
insultes, les contraintes, les persécutions et les situations
angoissantes. Car, lorsque je suis faible, c'est alors que je suis
fort. (2Co 12)
Saint
Paul peut dire cela parce que Jésus a montré le chemin ! Ce
n'est pas dans les miracles, que Jésus révèle Sa grandeur , Sa
puissance, Sa force, Sa divinité, non ! C'est
sur la croix ! Il
faut être extraordinairement fort, extraordinairement puissant, Il
faut être extrêmement aimant pour rester digne dans semblable
situation ! Tout
simplement il faut être Royal !
Jésus n'est pas venu pour nous en remontrer , Jésus vient en
SERVITEUR ! Avons-nous rencontrer beaucoup de puissants de ce
monde capables de se mettre à genoux devant leurs subordonnés pour
leur laver les pieds ? Essayons de suivre Jésus pas à pas dans
l'ultime étape de Son passage terrestre, Lui qui a dit « mon
Royaume n'est pas de ce monde »
et encore .Et
moi, quand j'aurai été élevé de la terre, j'attirerai tous les
hommes à moi." (Jn 12)
On
venait de crucifier Jésus,et le peuple restait là
à observer. Comme
très souvent le
peuple n'a pas la parole ! Soit il ne comprend pas ce qui se passe, soit il comprend trop bien et risque sa propre vie s'il intervient. Il faut être très fort dans son esprit, avoir un bon capital psychologique, spirituel, moral pour se dresser devant des adversaires sans entrer dans des débordements souvent inévitables , sans devenir violent à son tour, verbalement ou physiquement. Quelle est mon attitude quand quelqu'un sous mes yeux, se fait lyncher ? De quel côté je me place ? Du côté du plus fort ou du côté du faible ? Suis-je capable , ne serait-ce que par mon attitude, de ramener la paix au lieu d'envenimer ?
peuple n'a pas la parole ! Soit il ne comprend pas ce qui se passe, soit il comprend trop bien et risque sa propre vie s'il intervient. Il faut être très fort dans son esprit, avoir un bon capital psychologique, spirituel, moral pour se dresser devant des adversaires sans entrer dans des débordements souvent inévitables , sans devenir violent à son tour, verbalement ou physiquement. Quelle est mon attitude quand quelqu'un sous mes yeux, se fait lyncher ? De quel côté je me place ? Du côté du plus fort ou du côté du faible ? Suis-je capable , ne serait-ce que par mon attitude, de ramener la paix au lieu d'envenimer ?
Les
chefs tournaient Jésus en dérision et disaient :« Il en
a sauvé d’autres :qu’il se sauve lui-même,s’il est le
Messie de Dieu, l’Élu ! » Jésus
se tait ! Jésus a tous les atouts en mains pour réagir,
et comme le dira un soldat, Il pourrait même demander l'aide de Son
Père pour être secouru par une légion d'anges, Jésus, librement,
choisit le silence . Demander l'aide de Son Père serait une
provocation qui engendrerait encore plus de violence, plus de
railleries, plus d'humiliations, Jésus se tait parce qu'Il est venu
sauver aussi ceux qui Le provoquent. C'est même surtout pour eux
qu'Il là, sur la croix ! Sa réplique enfoncerait encore plus
profond ses bourreaux dans leur péché, parce qu'ils en
rajouteraient encore, Jésus n'est pas venu pour cela, Jésus vient
nous sauver, Il vient nous tirer de nos bourbiers ! On ne sauve
pas en rendant le mal pour le mal, on sauve en répondant au mal par
le bien ! Le Bien ici, c'est la force du silence et c'est en
cela que Jésus est supérieur, c'est en cela qu'Il est Roi !
Les
soldats aussi se moquaient de lui ;s’approchant, ils lui
présentaient de la boisson vinaigrée, en disant :« Si
tu es le roi des Juifs,sauve-toi toi-même ! »Il y avait
aussi une inscription au-dessus de lui :« Celui-ci est le
roi des Juifs. » Et
voilà la perversion : c'est de retourner contre l'intéressé
les propos qui circulent dans la région ! Jésus n'a jamais dis
je suis roi par contre les gens qu'Il rencontre pressentent Sa
grandeur d'être, Sa grandeur d'âme, Sa magnanimité, Sa
transcendance, Sa noblesse divine j'ose dire : Nathanaël
lui dit : « Rabbi, c'est toi le Fils de Dieu ! C'est toi le roi
d'Israël ! » (Jn 1)
Bien
au contraire Jésus se dérobe quand certains veulent Le porter en
triomphe : Jésus,
sachant qu'on allait venir l'enlever pour le faire roi, se retira à
nouveau, seul, dans la montagne. (Jn 6)
Lors
de l'entrée à Jérusalem c'est la foule qui l'ovationne, cette
foule qui peu de temps après le rejettera pour certains, se taira
pour d'autres :
Les
gens criaient : « Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du
Seigneur ! Béni soit le roi d'Israël ! » Jésus,
trouvant un petit âne, monta dessus. Il accomplissait ainsi
l'Écriture : N'aie pas peur, fille de Sion. Voici ton roi qui vient,
monté sur le petit d'une ânesse. (Jn 12)
A
tel point que Pilate qui ne connaît Jésus que par « ouïe
dire » se prendra lui-même « les pieds dans le tapis »
ce que Jésus ne manquera pas de lui faire remarquer avant de
préciser la raison essentielle de Sa venue en ce monde au point de
le déstabiliser :
Alors
Pilate rentra dans son palais, appela Jésus et lui dit : « Es-tu le
roi des Juifs ? » Jésus
lui demanda : «
Dis-tu cela de toi-même, ou bien parce que d'autres te l'ont dit ?
Pilate lui dit : « Alors, tu es roi ? » Jésus répondit :
« C'est toi qui dis que je suis roi. Je suis né, je suis venu dans
le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité.
Tout homme qui appartient à la vérité écoute ma voix. » Pilate
lui dit : « Qu'est-ce que la vérité (Jn 18)
Pilate
est à ce point déstabiliser qu'il s'en remet à la foule pour
l'ultime décision :
« Moi,
je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. Mais
c'est la coutume chez vous que je relâche quelqu'un pour la Pâque :
voulez-vous que je vous relâche le roi des Juifs ? » ...Pilate
sortit de nouveau pour dire aux Juifs : « Voyez, je vous l'amène
dehors pour que vous sachiez que je ne trouve en lui aucun motif de
condamnation. » (Jn 18 / 19)
Pilate
laisse faire, Jésus se laisse faire ! D'un
côté la lâcheté, de l'autre la grandeur, la dignité et cela
n'échappe pas à ceux qui regardent, assoiffés de justice et
d'amour ,c'est le cas de ce malfaiteur qui expire lui aussi, sur une
croix à côté de Jésus ! Lui aussi a observé et parce que
son cœur n'est pas totalement perverti il a su RECONNAITRE la
grandeur de Jésus bafoué, humilié , raillé au point de reprendre
son compagnon révolté et de demander pour lui-même, le salut à
Jésus ! Cet homme a compris que Jésus, dans ce corps de chair
mutilé, est habité par le mystère d'une Royauté différente de
celle du monde , une royauté spirituelle qui le dépasse mais lui
permet d'espérer, malgré son péché personnel qu'il confesse
publiquement, et de croire en une vie meilleure :
L’un
des malfaiteurs suspendus en croix l’injuriait :« N’es-tu
pas le Christ ?Sauve-toi toi-même, et nous aussi ! »Mais
l’autre lui fit de vifs reproches :« Tu ne crains donc
pas Dieu !Tu es pourtant un condamné, toi aussi !
Et puis, pour nous, c’est juste :après ce que nous
avons fait,nous avons ce que nous méritons.Mais
lui, il n’a rien fait de mal. » Et il
disait :« Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras
dans ton Royaume. »
Le terme est lancé ! Qui dit royaume, dit Roi le malfaiteur
reconnaît la Royauté de Jésus , et c'est sur la CROIX !
La
grandeur de Jésus dans Son abaissement n'échappe à personne, la
plupart se taisent mais le centurion romain ne résiste pas !
C'est le cri du cœur, c'est le cri de celui qui est dépassé,
bouleversé par ce qu'il voit :Le
centurion qui était là en face de Jésus, voyant
comment il avait expiré, s'écria : « Vraiment, cet homme était le Fils de Dieu ! » (Mc 15)
comment il avait expiré, s'écria : « Vraiment, cet homme était le Fils de Dieu ! » (Mc 15)
Le
centurion ne dit pas un
fils de Dieu, ou, plus simplement , fils de Dieu, un
parmi d'autres mais LE
FILS DE DIEU !
Quant à Jésus jusque dans la déréliction Il reste capable de se
dépasser et d'accorder la grâce demandée au malfaiteur repenti ,
n'est-Il pas venu pour sauver ce qui était perdu ?
:« Amen,
je te le dis :aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le
Paradis. »
La Porte du Royaume s'ouvre pour cet homme et reste ouverte pour ceux
qui se reconnaissent dans ce ROI D'HUMILITE !
.
Qui es-Tu, Roi d'humilité,
Roi sans palais, roi sans armée ?
Nous sommes venus t'adorer
Des bouts du monde.
Roi sans palais, roi sans armée ?
Nous sommes venus t'adorer
Des bouts du monde.
Regarde
donc autour de Toi
Dans les richesses qui sont là,
Les nations qui ne savent pas
Que Tu les aimes.
Dans les richesses qui sont là,
Les nations qui ne savent pas
Que Tu les aimes.
Petit
roi juif et Roi du ciel,
Notre grand Roi, l'Emmanuel,
Nous traversons Ton Israël
Pour en renaître !
Notre grand Roi, l'Emmanuel,
Nous traversons Ton Israël
Pour en renaître !
Jésus,
Seigneur,
Tu es Roi de Roi,
Lumière de Lumière, Toi !
Lumière de Lumière.
Ô Verbe, avant d’accomplir la Loi,
Tu as fait ciel et terre, Toi !
Tu as fait ciel et terre.
Tu es l’Alpha, Tu es l’Oméga,
Le centre du Mystère, Toi !
Le centre du Mystère.
Tu as pris chair, Vérité de foi,
Unique Fils du Père, Toi !
Unique Fils du Père.
Sauveur, ô Christ, homme mort en croix,
Dieu même nous libère, Toi !
Dieu même nous libère.
Lumière de Lumière, Toi !
Lumière de Lumière.
Ô Verbe, avant d’accomplir la Loi,
Tu as fait ciel et terre, Toi !
Tu as fait ciel et terre.
Tu es l’Alpha, Tu es l’Oméga,
Le centre du Mystère, Toi !
Le centre du Mystère.
Tu as pris chair, Vérité de foi,
Unique Fils du Père, Toi !
Unique Fils du Père.
Sauveur, ô Christ, homme mort en croix,
Dieu même nous libère, Toi !
Dieu même nous libère.
L'Ermite
J'aurais
aimé mieux partager ce que je reçois de cette grande fête du
Christ Roi de l'univers, je ne crois pas y être arrivée ! Ce
qui certain c'est, qu'en Jésus, la grandeur est petitesse, et c'est
parce que Jésus est le plus petit des petits que Son Amour devient
LUMIERE pour les femmes et les hommes de bonne volonté !
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