DEUXIÈME DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE
ANNÉE B
Jn 1, 35 _42
« Samuel !
Samuel ! Clotilde ! Eric ! «
tendons l'oreille de notre cœur nous entendrons la voix du Seigneur
qui nous appelle, AUJOURD'HUI, pour le service de l'Amour ! Avec
Le Père, avec Jésus, il s'agit toujours d'Amour ! Pas d'un
amour fade , à la guimauve, mais d'un amour fort, puissant,
décapant, désintéressé, qui met l'humain DEBOUT, en situation de
marche et de combat pour que s'étende Son règne d'Amour, de justice
et de paix !
Êtes-vous sûr de ne jamais avoir
entendu l'appel pour balayer votre église, la salle paroissiale,
Monsieur le Curé étant appelé au chevet d'un malade ou ailleurs ?
Pour vous occuper des servants d'autel ? Participer à une
équipe de liturgie, réparer , visiter, soutenir celle, celui qui
flanche, tendez l'oreille … peut-être que cette même voix vous
dérange plusieurs fois dans la nuit comme elle le fit pour Samuel,
dans la journée, par l'interpellation d'un tiers, messager du
Seigneur, comme dans l'évangile qui suit; en plein travail de
bureau, manuel ou autre, dans la prière et vous vous relevez tout
tremblant(e) !
Oui chers amis le Seigneur ne cesse de nous appeler, de nous inviter, la moisson est abondante, elle est prête, sans ouvrier elle va se corrompre. Accepterons-nous AUJOURD 'HUI de mettre nos mains, notre cœur, et pourquoi pas notre vie au service de l'AMOUR ! Il y a tellement de façons de servir notre Dieu ! Il y a de la place pour tous, selon les dons reçus, car tout nous est donné tout est accueilli ! Ouvrons l'oreille de notre cœur : « François ! Samuel ! Thérèse ! Dominique !
Oui chers amis le Seigneur ne cesse de nous appeler, de nous inviter, la moisson est abondante, elle est prête, sans ouvrier elle va se corrompre. Accepterons-nous AUJOURD 'HUI de mettre nos mains, notre cœur, et pourquoi pas notre vie au service de l'AMOUR ! Il y a tellement de façons de servir notre Dieu ! Il y a de la place pour tous, selon les dons reçus, car tout nous est donné tout est accueilli ! Ouvrons l'oreille de notre cœur : « François ! Samuel ! Thérèse ! Dominique !
"PARLE, SEIGNEUR , TON SERVITEUR,
TA SERVANTE ÉCOUTE !"
Regardons, écoutons Jean le
Baptiste, : "Moi je baptise dans l'eau;
mais au milieu de vous il y a quelqu'un que vous ne connaissez pas,
C'est celui qui vient après moi; je ne suis pas digne de délier la
courroie de sa chaussure." Cela se
passait à Béthanie, au delà du Jourdain, où Jean baptisait.
Jn 1,24

Et
moi, je ne le connaissais pas, mais
c'est afin qu'il fût manifesté à Israël que je suis venu baptiser
dans l'eau. Jean
avait sans nul doute rencontré Jésus mais en cousin dont il a dû
partager les jeux , mais il n'avait pas cette conscience profonde
cette RE-connaissance
de l'identité de Jésus comme Messie, oint du Seigneur , Fils du
Père éternel ! Quand
Jean prend conscience de
qui est vraiment Jésus
il ne cherche pas à retenir à
lui ceux qui
sont devenus ses disciples il n'hésite pas à désigner
Celui qui est attendu comme Celui qui est au milieu d'eux tous et qui
n'est pas encore CONNU Et
moi j'ai vu et j'ai rendu témoignage que celui-là est le Fils de
Dieu." (Jean 1).
Jean prend le risque de voir ses disciples s'éloigner, mais n'est-ce
pas sa mission de préparer le route ?
C'est
aussi notre mission. Évangéliser c'est annoncer et permettre à
ceux qui ouvrent leur cœur d'aller vers Celui , Jésus, qui est venu
pour que le monde soit sauvé. Le véritable apôtre est un passeur,
il montre la route, il ouvre des chemins il
n'est jamais autant heureux que lorsque des femmes et des hommes,
s'attachent à Jésus Christ! Il sait que Jésus seul
« est le chemin, la vérité et la vie ».
Jean
le Baptiste se trouvait avec deux de ses disciples.Posant son regard
sur Jésus qui allait et venait, il dit :« Voici l’Agneau de
Dieu. » Que
dit-il là ? « Voici
l'Agneau et l'Agneau de Dieu »
tout en désignant Jésus ? Jean le Baptiste nous révèle ici
qu'il connaît l’Écriture Sainte où l'agneau est cité quatre
vingt dix huit fois dans quatorze livres différents. Je ne relève
que les passages qui me semblent essentiels pour mieux appréhender
l’événement.
«
Dieu saura bien trouver l'agneau pour l'holocauste, mon fils »,
(Genèse
22)
répond Abraham à son fils Isaac qui s'étonne de ne pas voir
l'agneau sacrificiel alors qu'Abraham et son fils unique gravissent
la montagne pour offrir le sacrifice demandé par Dieu . Nous
connaissons la suite «
Abraham ! Abraham ! » Il répondit : « Me voici ! » L'ange
lui dit : « Ne porte pas la main sur l'enfant ! Ne lui fais aucun
mal ! Je sais maintenant que tu crains Dieu : tu ne m'as pas refusé
ton fils, ton fils unique. » (Genèse 22) et nous savons
aussi, que bien des années plus tard, un FILS UNIQUE Lui, sera
immolé sur la CROIX pour le Salut du genre humain ! Dieu le
Père a trouvé « l'agneau » qui sauve l'humanité tout
entière !
Moïse
convoqua tous les anciens d'Israël et leur dit : « Prenez un agneau
par famille et immolez-le pour la Pâque. Vous observerez cet ordre
comme une loi perpétuelle pour vous et vos fils. (Exode 12)
n'est-ce
pas ici l'annonce du véritable agneau dont le Sang répandu lave
l'humanité de ses fautes ? Les prémices aussi de la grande
célébration de Pâques qui nous rappelle chaque année ce grand
mystère de celui qui :
Maltraité,
il s'humilie, il n'ouvre pas la bouche : comme un agneau conduit à
l'abattoir, comme une brebis muette devant les tondeurs, il n'ouvre
pas la bouche. Arrêté, puis jugé, il a été
supprimé. Qui donc s'est soucié de son destin ?
(Isaïe 53)
Moi, j'étais comme un agneau
docile qu'on emmène à l'abattoir, et je ne savais pas ce qu'ils
préparaient contre moi. Ils disaient : 'Coupons l'arbre à la
racine, retranchons-le de la terre des vivants, afin qu'on oublie
jusqu'à son nom.' (Jérémie 11)
Ce symbolisme de l'Agneau nous est
devenu tellement familier qu'il ne nous étonne plus, alors qu'il est
repris au moins cinq fois dans la liturgie eucharistique: au Gloire à
Dieu, puis à la fraction du Pain ,et juste avant la communion.
L'agneau évoque la douceur, la docilité , la paix , la fraternité
, le sacrifice, '« Le loup habitera avec
l'agneau, le léopard se couchera près du chevreau, le veau et le
lionceau seront nourris ensemble, un petit garçon les conduira.
(Isaïe 11) »
Ce sont bien des loups que Jésus affronte , sans mot dire , au moment de la Passion. Et nous participons passivement , distraitement à ce sacrifice répété plusieurs fois par seconde à travers le monde, l'esprit retenu par tout autre chose que le grand, l'extraordinaire mystère dont nous faisons mémoire ! Demandons à Jésus Lui-même de nous aider à donner du sens aux mots que nous prononçons ou entendons, de leur permettre d'imprégner nos vies pour devenir avec Lui ces « agneaux » qui donnent quelque chose d'eux-mêmes pour la Rédemption de l'humanité.
L'agneau est aussi le symbole de l'homme en groupe dont il s'agit d'assurer la survie : peuple de Dieu pour l'Ancien Testament, fidèles chrétiens après la prédication évangélique. La sollicitude du berger symbolise la tendresse de Dieu pour son peuple « Je suis le bon pasteur, le vrai berger. Le vrai berger donne sa vie pour ses brebis.Le berger mercenaire, lui, n'est pas le pasteur, car les brebis ne lui appartiennent pas : s'il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s'enfuit ; le loup s'en empare et les disperse. (Jean 10) ou celle des « pasteurs » (d'âmes) pour leurs « ouailles ». Inversement, la docilité des agneaux est comparée à la rectitude du Juste (« suivre le droit chemin » est une expression pastorale). Lorsque Jean le Baptiste désigne Jésus comme l'« agneau de Dieu », il fait aussi, très probablement allusion à la sainteté de Sa vie. « Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront, personne ne les arrachera de ma main. » (Jean 10)
Ce sont bien des loups que Jésus affronte , sans mot dire , au moment de la Passion. Et nous participons passivement , distraitement à ce sacrifice répété plusieurs fois par seconde à travers le monde, l'esprit retenu par tout autre chose que le grand, l'extraordinaire mystère dont nous faisons mémoire ! Demandons à Jésus Lui-même de nous aider à donner du sens aux mots que nous prononçons ou entendons, de leur permettre d'imprégner nos vies pour devenir avec Lui ces « agneaux » qui donnent quelque chose d'eux-mêmes pour la Rédemption de l'humanité.
L'agneau est aussi le symbole de l'homme en groupe dont il s'agit d'assurer la survie : peuple de Dieu pour l'Ancien Testament, fidèles chrétiens après la prédication évangélique. La sollicitude du berger symbolise la tendresse de Dieu pour son peuple « Je suis le bon pasteur, le vrai berger. Le vrai berger donne sa vie pour ses brebis.Le berger mercenaire, lui, n'est pas le pasteur, car les brebis ne lui appartiennent pas : s'il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s'enfuit ; le loup s'en empare et les disperse. (Jean 10) ou celle des « pasteurs » (d'âmes) pour leurs « ouailles ». Inversement, la docilité des agneaux est comparée à la rectitude du Juste (« suivre le droit chemin » est une expression pastorale). Lorsque Jean le Baptiste désigne Jésus comme l'« agneau de Dieu », il fait aussi, très probablement allusion à la sainteté de Sa vie. « Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront, personne ne les arrachera de ma main. » (Jean 10)
Le portier lui ouvre, et les
brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les appelle chacune
par son nom, et il les fait sortir.
Quand il a conduit dehors toutes
ses brebis, il marche à leur tête, et elles le suivent, car
elles connaissent sa voix. (Jean 10)
Les
deux disciples entendirent ce qu’il disait, et ils suivirent Jésus.
Il ne
suffit pas de parler, il faut encore des cœurs ouverts qui
ENTENDENT ! C'est
le cas ici. Pour aussi attachés qu'ils soient à leur maître, le
Baptiste, ses disciples n'hésitent pas . Jésus n'a rien
Quand
nous entendons au plus profond de nous-même un appel du Seigneur
nous mettons-nous en route immédiatement ? Sommes-nous prêts à
quitter nos amis, nos biens, nos projets, pour marcher derrière
Celui qui nous fait signe pour nous entraîner plus loin , ou plus
profond, pour faire de nous de vrais serviteurs de la Parole de
Vérité ? Je le disais en ouvrant cette séquence, il y a de
multiples appels au sein de l’Église pour servir l'Amour !
Lorsque
quelqu'un tente d'emboîter ses pas dans nos pas, nous le sentons,
parfois nous pressons le nôtre, cela nous dérange, et nous
pensons : que me veut-il celui-la, celle-la ? Jésus
vraiment homme , se sent suivi et que fait-il ?Se
retournant, Jésus vit qu’ils le suivaient, et leur dit :« Que
cherchez-vous ? » Ils lui répondirent :« Rabbi – ce qui
veut dire : Maître –, où demeures-tu ? » Jésus
n'a pas peur, Il ouvre le dialogue ! Il s'informe sur la raison
de leur démarche ? Que cherchez-vous ? Il permet
l'échange, la rencontre .
Les disciples, sans doute intimidés, ne répondent pas directement à
la question , y a-t-il un ersatz de curiosité dans leur réponse ?
Où
demeures-tu ? Ils
désirent entrer dans son intimité, en connaître un peu plus sur
son mode de vie . Jésus répond en toute simplicité , Il ne les
rabroue pas comme nous serions peut-être, tentés de le faire :
(en quoi cela vous regarde-t-il ? Quel intérêt pour vous ?
Que voulez-vous savoir?)
Il
leur dit :« Venez, et vous verrez. » Ils allèrent donc, ils virent
où il demeurait,et ils restèrent auprès de lui ce jour-là.
C’était vers la dixième heure (environ quatre heures de
l’après-midi).
Ce
ne devait pas être luxueux, nous saurons par la suite, que le
Fils de l'homme n'a pas où reposer sa tête. Ils ne sont pas là
par pure curiosité pour faire l'inventaire des biens du Seigneur,il
veulent apprendre à mieux Le connaître, à se laisser
déranger, A se laisser enseigner , à sortir de leurs ornières .
Invités, ils suivent Jésus et ils restent avec Lui ce jour-là.
Nous ne connaissons pas le contenu de cette première rencontre ,
nous pouvons penser qu'elle fut riche de découvertes, d'espérance,
et de bouleversement ! Au point que ;
André,
le frère de Simon-Pierre, était l’un des deux disciples qui
avaient entendu la parole de Jean et qui avaient suivi Jésus.Il
trouve d’abord Simon, son propre frère, et lui dit :« Nous
avons trouvé le Messie » – ce qui veut dire : Christ.
Si nous ne connaissons pas le contenu du partage, entre Jésus et les
deux disciples l'annonce faite par André à son frère est
significative . Au cours de cette rencontre
ils font l'expérience unique qui va changer leur vie et faire de
chacun d'eux des apôtres de Jésus. RENCONTRER
vraiment le Christ change profondément une vie. A l'inverse
fréquenter Jésus , flirter si j'ose dire, n'engage pas l'être.
Pas
plus tard qu'hier, lors d'un rendez-vous médical , une femme
médecin, spécialiste, me disait d'elle-même « j'ai été
élevée dans la foi catholique, mes parents sont catholiques
pratiquants, mais, depuis que je suis en France je ne fréquente plus
les églises, vos célébrations sont tristes ! Chez nous on
chante, on, bouge, c'est vivant etc » elle n'est pas la seule
à parler ainsi, des français de souche, tiennent les mêmes propos
… Je pensais alors, mais qu'allons-nous chercher dans une église ?
Que cherchons-nous, QUI cherchons-nous ? La gesticulation ?
Le bruit ? Les boums boums musicaux ? Ou bien, le
Dieu qui parle dans le silence d'une brise légère ?
Tandis que me parlait ce médecin je pensais qu'elle n'avait pas fait
une vraie rencontre de Jésus, elle était portée par la foule,
l'ambiance, mais Dieu n'est pas dans l'ouragan , Dieu
se laisse trouver dans le silence, le service discret, Dieu ne fait
pas de bruit, Il parle dans le secret du cœur … « Quand
tu veux prier, retire-toi dans ta chambre »
Certes, les chants, les belles liturgies, l'esprit de fête, sont
utiles, mais l'essentiel est ailleurs, l'essentiel est dans ce qui se
joue à l'intérieur !
Je
prie pour cette personne, merci de prier avec moi s'il vous plaît,
elle devrait venir me voir aux beaux jours, puissé-je être la voix
, ou puisse le Seigneur mettre sur sa route la personne ( un André
comme ici pour Pierre) qui lui permettra de rencontrer
le seul et vrai Maître Jésus-Christ.
André
amena son frère à Jésus.Jésus posa son regard sur lui et dit :«
Tu es Simon, fils de Jean ; tu t’appelleras Kèphas » – ce qui
veut dire : Pierre.
André
est saisi par la rencontre de Jésus et il ne peut garder ce bonheur
pour lui seul, il s'empresse de le partager avec son frère qu'il
amène à Jésus qui pose son regard sur lui, Simon, le nouveau venu,
et en qui, dès cet instant, Il discerne une vocation d'exception !
Ah le regard de Jésus ! C'est un regard qui aime, qui fait
exister, qui donne du sens à une vie et ce fut le cas , puisque dès
cet instant Jésus retourne Simon

Le
Seigneur vit que sous l’influence de l’Esprit saint, Simon avait
la capacité de forger son caractère pour devenir dur comme le roc.
Dès qu’il reçut ce nom nouveau, Pierre sut qu’il devait se
conformer aux exigences du Seigneur.
L’histoire
de l’Église prouve que Pierre a accompli sa mission (non sans
difficultés) et qu’il est l’une des pierres symboliques de la
Nouvelle Jérusalem : « La muraille de la ville avait
douze fondements, et sur eux les noms des douze apôtres de
l’Agneau ». - Apocalypse 21 : 14.
Jésus
fait de Pierre ce roc de fondation qui malgré ses fragilités
conduira son Église et Lui donnera son élan !
Somme-nous
prêts,(es) à nous laisser façonner, malaxer par l'Esprit de
Vérité, quel que soit notre âge, notre condition ?
Sommes-nous prêts (es) à prendre à notre compte la réponse de
Samuel :
"PARLE
SEIGNEUR, TON SERVITEUR, TA SERVANTE ÉCOUTE !"
Si le Père vous appelle à aimer comme il vous
aime
Dans le feu de son
Esprit, bienheureux êtes-vous !
Si le monde vous
appelle à lui rendre une espérance
A lui dire son
salut, bienheureux êtes-vous !
Si l’Église
vous appelle à peiner pour le royaume
Aux travaux de sa
moisson, bienheureux êtes-vous !
Tressaillez
de joie ! Tressaillez de joie !
Car vos
noms sont inscrits
Pour
toujours dans les Cieux !
Tressaillez
de joie ! Tressaillez de joie !
Car vos
noms sont inscrits dans le cœur de Dieu !
Si le Père vous
appelle à la tâche des apôtres,
En témoins du
seul pasteur, bienheureux êtes-vous !
Si le monde vous
appelle à l’accueil et au partage
Pour bâtir son
unité, bienheureux êtes-vous !
Si l’Église
vous appelle à répandre l’Évangile
En tout point de
l’univers, bienheureux êtes-vous !
Si le Père vous
appelle à quitter toute richesse
Pour ne suivre que
son Fils, bienheureux êtes-vous !
Si le monde vous
appelle à lutter contre la haine
Pour la quête de
la paix, bienheureux êtes-vous !
Si l’Église
vous appelle à tenir dans la prière
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